Les deux pays se seraient mis d’accord sur la nécessité de réaliser une étude technique avec l’appui d’une organisation internationale qualifiée, sélectionnée d’un commun accord, pour déterminer la réalité hydrologique, environnementale et sociale de la rivière massacre, selon le Ministère dominicain des Affaires étrangères cité par la presse voisine.
Les deux parties sont convenues de poursuivre les discussions. Les délégations étaient conduites par les chanceliers haitien et dominicain, Jean Victor Généus et Roberto Álvarez.
Selon le communiqué du MAE de la République dominicaine, les deux parties ont partagé leurs points de vue sur la question et ont exploré diverses options pour parvenir à une solution juste, équitable et raisonnable, conformément aux dispositions du Traité de paix, d’amitié perpétuelle et d’arbitrage du 20 février 1929.
La chancellerie dominicaine souligne que les discussions ont été menées de manière constructive et ont également porté sur d’autres questions de l’agenda binational, telles que la migration, le commerce et la sécurité transfrontalière.