Les négociations politiques pour une sortie de crise devraient reprendre ce jeudi. L’Exécutif annonce déjà la couleur. Le mandat du président Jovenel Moise n’est pas négociable, annonce l’un de ses conseillers, Guichard Doré.
Le palais national ne voit pas non plus d’un bon œil le fait que l’opposition revendique le poste de premier ministre, selon Doré.
Le secrétaire général du RDNP, Eric Jean-Baptiste dresse un bilan négatif des 3 années de présidence de Jovenel Moise. Pour sa part, la présidente d’honneur du parti, Myrlande Manigat approuve la décision du CEP relative à la plainte des sénateurs renvoyés par Jovenel Moise.
Le déficit budgétaire pour le 1er trimestre de l’exercice fiscal en cours donne le vertige…..Un déficit financé à hauteur d’environ 16 milliards de gourdes par la BRH.
« C’est alarmant », réagissent les économistes Enomy Germain et Garry Coquillot. Ils craignait des effets pervers sur l’économie nationale dans les prochains jours.
Recrudescence des actes de violences dans la capitale haïtienne : Trois individus ont été abattus ce mercredi à la mi-journée par des hommes armés, à l’avenue des Marguerites. Selon des riverains, il s’agirait des gens qui rançonnaient les passants.
L’homme d’affaires Michel Baptiste, propriétaire de Don Bosco Restaurant, à la rue Chareron, a été tué par balle mardi soir par des bandits armés qui tentaient de l’enlever.
La police a procédé hier, à l’arrestation de Viltéma Saint-Louis alias Bidòl, l’un des présumés auteurs du viol collectif de 5 femmes dimanche soir dans le bas plateau central. Cet individu a été libéré de prison, il y a une quinzaine de jours, rapporte le porte-parole de la PNH dans le département du Centre, Ervilus Réginald Michel.
La Fondation Je Klere dénonce la détérioration des conditions de détention particulièrement au pénitencier national et à la prison civile de la Croix-des-bouquets. Au pénitencier, les détenus ont été confinés pendant 8 jours dans leur cellule sans pouvoir se laver. De plus, la nourriture fait cruellement défaut également.
Le détenu Pierre Kilick Sémélus a entamé une grève de la faim pour dénoncer cette situation, mais aussi la lenteur enregistrée dans le traitement de son dossier par le cabinet d’instruction.