Le conseil d’avocats de la veuve du président assassiné, Martine Moïse, dénonce l’absence de velléités du gouvernement d’Ariel Henry pour faire la lumière sur ce crime odieux.
Les avocats de l’ex-première dame déplorent le fait que les rares auditions réalisées dans le cadre de ce dossier n’aient permis de désigner d’autres inculpés, auteurs intellectuels, auteurs matériels.
A l’occasion de la première commémoration de l’assassinat de Jovenel Moïse, ce jeudi 7 juillet, ils exhortent les autorités étatiques à faire tout ce qui relève de leurs attributions afin de faire avancer l’enquête tout en plaidant pour une entraide judiciaire internationale.