ACTUALITE A LA UNE

Le président du Sénat, Joseph Lambert, dans le collimateur des députés del’opposition. Ils  l’accusent d’avoir tenté de les discréditer eninsinuant que leur collègue Printemps Bélizaire aurait aidé le  chefde gang Arnel Joseph à quitter le village de Dieu lors de l’opérationpolicière, du 3 novembre dernier.

Ces députés, Joseph Manès Louis, Roger Millien, Jean Robert Bossé, Bertrand Sinal, Printemps Bélizaire et Reynald Exantus réclament des excuses publiques de la part de Joseph Lambert. En cas de refus, il ne pourra présider aucune séance de l’Assemblée nationale.

Ils demandent par ailleurs  au président de la chambre basse d’inviter les membres du CSPN à une rencontre, ce vendredi, sur le  massacre de la Saline. Ils  doivent se faire accompagner du délégué départemental de l’Ouest, Joseph Pierre Richard Duplan qui serait impliqué dans cette tuerie. 

L’OAVCT demande à la Direction Générale de la PNH de passer des instructions à la direction de la police routière en vue de contrôler systématiquement les véhicules immatriculés Service de l’Etat en exigeant la carte d’enregistrement, l’attestation d’assurance et l’identification du chauffeur.  Cette mesure s’inscrit dans le cadre de la lutte contre banditisme. 

Deux présumés voleurs ont été brulés vifs, mercredi soir, par des habitants de Lévêque, une localité de la première section communale de Cabaret. Ils tentaient de voler une motocyclette.       

Environ soixante-dix avocats dont Me Samuel Madistin, Edwin Coq, Sonet Saint-Louis, Salime Soucar, Judith Louidor et Camille Leblanc expriment leur indignation  face à la persistance du conflit entre  le barreau de Port-au Prince et le chef du parquet qui met en péril la profession. Ils dénoncent certains de leurs confrères qui en profitent pour transformer le palais de justice en une zone de non-droit. 

Estimant que le conseil de l’ordre est dépassé par la situation, ces avocats proposent l’organisation d’une rencontre, mardi prochain, au palais de justice, en vue de trouver une issue à cette crise.

Le RDNP se dit favorable au dialogue avec l’Exécutif mais pose certaines conditions. Le secrétaire général, Eric Jean-Baptiste qualifie, par ailleurs, de fossoyeurs de la patrie les dirigeants de l’aile dure de l’opposition qui rejettent toute idée de dialogue avec le pouvoir en place. 

Installation, hier, du  groupe de travail interinstitutionnel pour la finalisation de la politique nationale d’Education non formelle et sa validation. Une initiative du Ministère de l’Education nationale. Cette structure, constituée de 11 membres, est présidée par le Directeur général du MENFP. Elle a un mandat de 3 mois.

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